En marge de sa participation au Sommet mondial sur les infrastructures numériques, M. Zerrouki a rencontré son homologue sud-africain, Solly Malatsi, avec lequel il a passé en revue “l’état de la coopération bilatérale dans les domaines de la poste et des télécommunications”, avant de procéder à la signature de la “Déclaration d’intention visant à renforcer le partenariat entre les deux pays et à assurer un suivi périodique des projets de coopération conjoints”, précise la même source.
Le ministre a également reçu la secrétaire d’Etat brésilienne chargée de la Transformation numérique, Beatriz Vasconcellos, avec laquelle il a été procédé à un “échange d’expertises sur le développement des infrastructures numériques publiques, en mettant l’accent sur leur importance en tant que pilier de la souveraineté numérique nationale”.
Lors de son entretien avec le conseiller du Premier ministre de la République du Congo, Luc Missidembazi, les discussions ont porté sur “les moyens de renforcer la coopération africaine commune, en vue de réduire la dépendance technologique et consolider les capacités nationales en matière de numérisation”, ajoute le communiqué.
Le ministre a, en outre, rencontré le Conseiller principal auprès du Bureau des Nations unies pour les technologies numériques et émergentes (UNODET), Mehdi Snene, avec lequel il a “passé en revue les domaines de coopération future, l’Algérie étant invitée à soutenir les efforts de l’Organisation dans ce domaine”, poursuit la même source.
M. Zerrouki s’est également entretenu avec le secrétaire général adjoint de l’Union internationale des télécommunications (UIT), Tomas Lamanauskas, qui a “adressé une invitation officielle à l’Algérie pour présenter son expérience en matière de développement des technologies numériques lors du prochain Sommet mondial sur l’Intelligence artificielle (AI for Good)”.
Ces rencontres interviennent dans le cadre du “renforcement de la présence de l’Algérie sur la scène internationale et de l’échange d’expertises, en appui au processus de développement des infrastructures numériques publiques, au service du développement global et durable”, conclut le communiqué.