Le programme de cette troisième et dernière journée prévoit des rencontres entre ministres africains afin d’examiner les voies de coopération dans les domaines d’intérêt commun, ainsi que des visites des délégations participantes aux différentes unités de production pharmaceutique de la capitale.
En parallèle, le Salon algérien des soins de santé, organisé en marge de la conférence, poursuit ses activités et sera clôturé par la signature de plusieurs contrats entre opérateurs algériens et leurs homologues des autres pays africains.
Les travaux de la deuxième journée, tenus vendredi, ont été marqués par l’adoption de la “Déclaration d’Alger” qui constitue une plateforme commune visant à renforcer la souveraineté sanitaire du continent par l’unification des efforts destinés au développement de l’industrie pharmaceutique africaine et à la réduction de la dépendance aux importations.
Cette déclaration, comprenant 13 engagements collectifs, a été adoptée par les 29 pays participant à la conférence.
A travers la “Déclaration d’Alger”, les pays africains ont exprimé leur considération “du rôle de l’Algérie en tant que pays hôte, et de ses progrès réalisés dans la couverture de plus de 82% des besoins pharmaceutiques nationaux à travers la production locale”.
La conférence est organisée par le ministère de l’Industrie pharmaceutique et le ministère de la Santé, en collaboration avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS), sous le slogan “Une industrie pharmaceutique locale pour une Afrique intégrée et forte”.
Source : https://www.aps.dz/
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